L’étude du fonctionnement de notre cerveau progresse considérablement, nous avons longtemps pensé que nos neurones diminuaient au fil des années mais grâce aux avancées de la recherche, nous savons désormais que l’homme possède un immense capital de neurones vierges prêts à prendre du service à condition de les solliciter et de bien les nourrir.
Voilà une perspective très encourageante.
Quel que soit notre âge, quel que soit notre activité, la mémoire est un outil inestimable qui mérite un soin particulier.

– Il faut commencer par bien oxygéner tous nos tissus et pour cela, une demi-heure de sport quotidien permet d’activer le métabolisme cellulaire, de multiplier nos petites usines énergétiques que sont les mitochondries et de multiplier les transporteurs de glucose dans les parois cellulaires (le glucose étant le carburant privilégié des cellules nerveuses).

– Nos cellules nerveuses baignent dans des molécules lipidiques: oméga 3 à longues chaines, cholestérol, acide arachidonique. Il est donc conseillé de manger du poisson gras, le soir, trois fois par semaine; des oeufs coques, le matin, trois fois par semaine; quant à l’acide arachidonique il est naturellement fourni par les graisses animales et les laitages. Tout est une question d’équilibre et notre alimentation trop riche en laitages et viandes déséquilibre le rapport idéal Omega 3/Omega 6 qui est de 1/5.

Une complémentation alimentaire à base d’EPA et de DHA le soir, favorise la fixation de ces acides gras dans la paroi des cellules et leur rend la souplesse nécessaire à tous leurs échanges (Synergium Oméga3).

– Le sommeil est indispensable à notre cerveau pour emmagasiner les informations et les trier. Pour assurer un sommeil réparateur il ne faut pas hésiter à pratiquer des séances de relaxation, manger très léger le soir et bannir les sucres rapides pour permettre à l’hormone de la nuit, la mélatonine, de faire son travail. On peut se complémenter en Magnésium (indispensable au bon fonctionnement des neuromédiateurs) (MagZénium).

– Il existe des plantes qui favorisent le travail des neurones le Bacopa monieri (Anti Agium). Mais ces plantes ne peuvent bien fonctionner que si l’on fait travailler sa mémoire en même temps, il y a alors une synergie positive d’action entre l’effort produit et les bienfaits des plantes.

– Les maladies dégénératives progressent, Alzheimer, Parkinson, Démences séniles… Il est toujours possible de lutter contre des prédispositions génétiques par l’hygiène de vie, la chrono-alimentation qui respecte nos rythmes biologiques, le travail d’entraînement de la mémoire et la complémentation alimentaire.